Quatrième de couv' ?
Et parce
que la photographie fait souvent des portraits, j’ai voulu faire des portraits.
Les gens que je rencontre, que je croise, avec qui je fais des choses ou avec
qui je vis, sont des personnages parfois récurrents et les lieux où ils
habitent restent des points de repère dans une quête qui se vit. (Et la photographie n’est-elle pas
cela : un souvenir ?) Devrais-je raconter la vraie, l’improbable
histoire de ces personnages, ou l’imaginer ? L’écrivain est non seulement
un mythomane, mais souvent un schizophrène
qui entend des voix, doublé d’un plagiaire de photographies déjà faites et
de bouts de textes d’autres auteurs.
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