Quelles que soient les traductions, le poème de Djalâl al-Din Rûmî m'enchante toujours. Je vous le redonne dans deux versions :
Viens, viens, qui que tu sois
Vagabond, érudit, dévot, qu'importe
Dans notre caravane il n'y a pas de place pour le désespoir
Viens, même si tu as mille fois rompu tes serments
Viens, viens de nouveau
/
Viens, viens, qui que tu sois,
Vagabond, adorateur, amoureux de
partir,
Viens même si tu as
rompu tes vœux mille fois, cela n’a pas d’importance, viens,
Viens
encore une fois, viens :
Notre caravane n’est pas celle du désespoir.
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