dimanche 26 décembre 2010

En pensant à mes voyageurs

Sur la montagne est un arbre
Qu'importe
Si le voyageur - un point dans
Le paysage, ni en quête, ni en fuite -
Grimpe vers lui pour
L'embrasser,
Ou descend vers la plaine ?
Tel le vent soufflant vers la terre,
Il la parcourt d'un pas persévérant.

L'errant au voyage flamboyant
Observe comment le ciel se meut
Et voit le temps
Qu'il faut à chaque chose.

Laisser passer le vent est heureux,
Et noble le chemin
De ceux qui sont en marche.



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