Tu poses
Et tu crois ce faisant te cacher
Sans masque
Léger et fou
Tu divagues
Crois-tu faire sentir
La transparence
Survole
Verront-ils
La profondeur
Ah
Que tu les enlèves tous
Restera encore ta peau
Une frontière aux autres
Formidable
Alexis Garandeau
lundi 16 juin 2008
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2 commentaires:
par hasard ou presque je tombe sur tes pierres qui roulent. Je vais me donner un vrai temps cette semaine pour faire mieux leur connaissance. Dommage que l'écran empêche une lecture plus sauvage. Je t'embrasse et suis bien contente de ce qui t'arrive Christine Maury/koenig
shuj'aime bien ce poème, Alexis, j'espère que tu en mettras d'autres
Anne
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